poème père et fils
.le père et le fils
dans la nuit qui vient de tomber
dans une clairière par la lune éclairée
dans un lieu tranquille ou rien n'est hostile
un loup est sorti avec son petit
et comme souvent il lui arrive
le loup s'est mit à hurler comme pour annoncer sur l'autre rive
que le loup avait un petit
et qu'il allait lui apprendre tout ce qu'il devait savoir pour vivre sa vie
une vie de liberté
et surtout de l'homme ne pas approcher
Les trois petits cochons
Il était une fois trois petits cochons partis en voyage. Un jour, ils arrivèrent dans une jolie clairière et voulurent s’y installer. Chacun voulait se construire sa maison.
Le premier avait trouvé de la paille et se fabriqua très vite sa petite maison avec.
Le second avait trouvé des planches de bois. Il les assembla pour fabriquer une jolie maison de bois.
Le troisième mit plus de temps. Il était allé chercher des pierres et se construisit une grande maison de pierres.
Les trois frères étaient très contents d’avoir chacun fini leur maison. Le soir même ils organisèrent une petite fête.
Heureusement !
Car cette nuit-là arriva un loup dans la clairière !
Il alla d’abord vers la maison de paille. Il tocqua à la porte « Bonjour petit cochon ».
Le petit cochon qui dormait très fort fut réveillé et en entendant le loup, il eut très très peur
- Qui est là ?
- C’est moi le loup, ouvre-moi !
Le petit cochon tremblait de peur et il n’osa pas répondre. Alors le loup cria « Si tu ne m’ouvres pas tout de suite je vais souffler et souffler encore et ta maison s’envolera ». Et comme le petit cochon ne lui ouvrit pas, le loup se mit à souffler, souffler très fort et la maison s’envola !
Le petit cochon pris ses jambes à son cou et s’enfuit vers la maison de son frère.
Le loup courut derrière lui et arriva bientôt devant la maison de bois.
- Petit cochon si tu ne m’ouvres pas je vais souffler, souffler et ta maison s’écroulera !
- Non non Monsieur le Loup je ne peux pas vous ouvrir
Alors le loup souffla, souffla encore, souffla encore plus fort et la maison s’écroula !
Les deux petits cochons eurent très très peur. Ils partirent le plus vite possible vers la maison de la leur frère.
Le loup courut derrière eux et arriva devant la maison de pierres.
Petits cochons si vous ne m’ouvrez pas je vais souffler, souffler et votre maison s’effondrera !
- Non non grand méchant loup nous ne vous ouvrirons pas » répondit le troisième petit cochon sûr de lui.
Alors le loup souffla et souffla encore mais la maison ne s’effondra pas, et le loup souffla et souffla toujours plus fort mais la maison ne s’effondrait toujours pas.
Le loup regarda la maison et chercha un moyen de rentrer dedans. Bientôt il eut l’idée de monter le long de la maison, passer sur le toit et entrer par la cheminée. Mais les petits cochons l’avaient regardé par la fenêtre et devinant ce que le loup voulait faire, ils mirent une marmite d’eau à chauffer sur le feu.
Et alors quand le loup descendit par la cheminée, il arriva tout droit dans la marmite remplie d’eau bouillante. Il hurla de douleurs et s’enfuit aussi vite que possible. Et plus jamais on entendit parler de lui !
amérindiens et loups
«Voyez Mes frères, le printemps est venu ; la terre a reçu l'étreinte du soleil, et nous verrons bientôt les fruits de cet amour! Chaque graine s'éveille et de même chaque animal prend vie. C'est à ce mystérieux pouvoir que nous devons nous aussi notre existence ; c'est pourquoi nous concédons à nos voisins, même à nos voisins animaux, le même droit qu'à nous d'habiter cette terre. Pourtant, écoutez-moi, vous tous, nous avons maintenant affaire à une autre race, petite faible quand nos pères l'on rencontrée pour la première fois, mais aujourd'hui grande et arrogante. Assez étrangement, ils ont dans l'idée de cultiver le sol et l'amour de posséder est chez eux une maladie. Ces gens-là ont établi beaucoup de règles que les riches peuvent briser mais non les pauvres. Ils prélèvent des taxes sur les pauvres et les faibles pour entretenir les riches qui gouvernent. Ils revendiquent notre mère à tous, la terre, pour leur propres usages et se barricadent contre leurs voisins ; ils la défigurent avec leurs constructions et leurs ordures. Cette nation est pareille à un torrent de neige fondue qui sort de son lit et détruit tout sur son passage. Nous ne pouvons vivre côte à côte.» Discours prononcé en 1875
chant de Geronimo, un grand chef indien
« Nous sommes en train de disparaître de la surface de la terre, mais je continue à croire qu'il doit y avoir une bonne raison pour que Yoséné [Dieu] nous ait crées. Il a donné vie à toute une variété d'espèces d'hommes. Ainsi pour chaque espèce créée, Il désigna un pays particulier. Lorsque Yoséné créa les Apaches, Il leur donna un pays qui se situe à l'Ouest. Pour nourriture Il leur remit des graines, des fruits et du gibier. Afin de soigner les différentes maladies, Il fit croître des plantes médicinales. Puis Il leur enseigna où trouver ces plantes et comment les préparer. Il leur accorda un climat doux et tout ce dont ils avaient besoin pour se vêtir et s'abriter... Cela eut lieu au tout début de la création : car Yoséné créa simultanément le peuple Apache et son pays. Et quand viendra le jour où les Apaches seront séparés de leur terre, ils tomberont malades et mourront. Combien de temps s'écoulera-t-il avant que l'on dise qu'il n'y a plus d'Apaches « ?.
GERONIMO